Vendre mon entreprise à l’étranger
En fin de carrière, il est possible que vous vous posiez la question « comment vendre mon entreprise ? » Avez-vous pensé à un repreneur étranger ?

Vendre mon entreprise à l’étranger, transmission d’entreprises en France
Comment vendre mon entreprise à un acquéreur étranger ?
Pour vendre mon entreprise en France, je dois bien évidemment respecter la loi suisse. Les motivations des candidats acquéreurs – bien souvent politiques, économiques et financières – ne doivent pas occulter les principes de notre pays. Et nos habitudes de fonctionner. Aussi, ne vous laissez pas aveugler par les méthodes venues d’ailleurs. En France, vendre mon entreprise est un processus bien huilé :
- Le candidat repreneur vous adresse une offre d’intention de reprise. C’est le papier qui entame le processus de négociation.
- En tant que cédant, je prépare le bilan de due diligence ou audit financier.
- Ensemble, nous nous engageons dans une relation d’exclusivité en signant une clause de confidentialité. Celle-ci est valable 3 mois.
Vendre mon entreprise : les spécificités suisses
Il convient de rappeler que la fiscalité suisse, bien qu’attractive est très complexe. Surtout lorsqu’on aborde le droit des entreprises. Chacun des 26 cantons établit des règles qui lui sont propres. Pour vendre mon entreprise, je dois non seulement me mettre en conformité avec la loi suisse mais aussi avec les règles cantonales. Ce point particulier nécessite la plus grande vigilance et notamment dans le calcul du prix de l’entreprise.Il est conseillé de faire appel à un cabinet spécialisé dans la valorisation et la transmission d’entreprises. Celui-ci sera plus à même de vous proposer le prix le plus juste pour votre structure et le plus proche du marché. De même, en qualité de cédant, vous n’êtes pas tenu de réaliser le business plan de votre futur acheteur. Un repreneur doit baser son modèle sur ses prévisions, non sur les performances des années précédentes.Pour vendre mon entreprise, le plus simple est encore de solliciter les conseillers d’Actoria France qui, forts d’une expérience d’environ 500 transitions annuelles partout en francophonie mondiale, sauront négocier les meilleures conditions avec un repreneur étranger.